Souvent perçue comme facile à aborder au vu de sa proximité avec la France et le pouvoir d’achat élevé de ses habitants, la Suisse est en réalité un marché complexe qui demande de la préparation.
Le pays n’en demeure pas moins un grand importateur de produits agroalimentaires (12,2 milliards d’euros en 2020) et s’approvisionne en premier lieu auprès de ses trois voisins : l’Allemagne (17 % de parts de marché), l’Italie (16 %) et la France (12 %). Si la pluralité de ce marché de 8,5 millions d’habitants constitue un véritable défi, il présente néanmoins de réelles opportunités pour certaines lignes de produits, avec des consommateurs plus sensibles qu’ailleurs à des tendances de fond (bio, environnement, innovation, etc.), attachés à la qualité et à une identité régionale.
Dans ce contexte, quel est aujourd’hui le potentiel de nos produits agroalimentaires d’Occitanie pour le marché suisse ?
Le pays n’en demeure pas moins un grand importateur de produits agroalimentaires (12,2 milliards d’euros en 2020) et s’approvisionne en premier lieu auprès de ses trois voisins : l’Allemagne (17 % de parts de marché), l’Italie (16 %) et la France (12 %). Si la pluralité de ce marché de 8,5 millions d’habitants constitue un véritable défi, il présente néanmoins de réelles opportunités pour certaines lignes de produits, avec des consommateurs plus sensibles qu’ailleurs à des tendances de fond (bio, environnement, innovation, etc.), attachés à la qualité et à une identité régionale.
Dans ce contexte, quel est aujourd’hui le potentiel de nos produits agroalimentaires d’Occitanie pour le marché suisse ?
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