C'est acté. Le géant Facebook va changer de nom. Et devenir Meta (« au-delà », en grec ancien). L'objectif est clair pour Mark Zuckerberg, le PDG du groupe, il s'agit de mettre en avant le métavers, ce projet d'internet du futur. Si les plates-formes du groupe (Facebook, Instagram, WhatsApp, Messenger) gardent leur nom, cette décision de rebaptiser le groupe californien en dit long sur la stratégie à venir pour Zuckerberg. Celui-ci avance que ce projet va créer des « millions » d'emplois dans la décennie à venir.
Mais la société américaine fait actuellement face à de multiples accusations. Avec les Facebook Papers, révélés par la lanceuse d'alerte Frances Haugen, c'est plusieurs scandales qui s'enchaînent avec la fuite de ces documents internes. Haugen accuse notamment la plateforme de faire passer « les profits avant la sécurité » des utilisateurs. Face à cette grave crise de réputation, le nouveau projet de Zuckerberg pourrait être une tactique pour redorer son image et détourner l'attention. Après son audition devant le Congrès américain, l'ancienne employée de Facebook sera aussi entendue par le Sénat à Paris le 10 novembre prochain.
Pendant ce temps là, la campagne présidentielle française se poursuit et les différents candidats ont plus que jamais conscience de l'importance de leurs réseaux sociaux. Si les équipes d'Emmanuel Macron ou de Jean-Luc Mélenchon manient parfaitement ces outils, certains candidats comme Anne Hidalgo sont plus à la peine. La bataille des idées se fait pourtant aussi sur ce terrain là et pour cela les community manager utilisent toutes les techniques pour faire remonter leurs hashtags, ces mots-clés qui donnent les tendances.
Enfin, en Chine, les réseaux sociaux et Internet dans sa globalité subit des censures et un contrôle important de la part de l'Etat. Les capacités de surveillance du web par le pouvoir sont fortes, et face à ce contexte compliqué, LinkedIn vient d'annoncer son retrait de l'empire du Milieu. C'était le dernier grand réseau social américain à y rester.
Alors, le groupe de Mark Zuckerberg peut-il remonter la pente après les Facebook Papers ? Comment se joue la campagne présidentielle sur les réseaux sociaux ? Jusqu'au la Chine peut-elle porter sa censure sur le web ?
Les invité.e.s :
- NICOLAS BOUZOU - Économiste et directeur du cabinet de conseil Asterès
- NICOLE BACHARAN - Politologue spécialiste des États-Unis
- VERONIQUE REILLE-SOULT - Présidente de Backbone Consulting
- DOMINIQUE CARDON - Professeur de sociologie à Sciences Po
Retrouvez-nous sur :
| Notre site : http://www.france5.fr/emissions/c-dans-l-air
| Facebook : https://www.facebook.com/Cdanslairf5/
| Twitter : https://twitter.com/CdanslairF5
Pas un événement important qui ne soit évoqué, expliqué et analysé dans C dans l’air. Tout au long de la semaine, les deux journalistes donnent les clés pour comprendre dans sa globalité un événement ou un sujet de première importance, en permettant aux téléspectateurs d'intervenir dans le débat ou de poser des questions par SMS ou Internet. Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Axel de Tarlé prend le relais le vendredi et le samedi.
Diffusion : tous les jours de la semaine à 17 h 45
Rediffusion : tous les jours de la semaine dans la soirée
Format : 65 minutes
Mais la société américaine fait actuellement face à de multiples accusations. Avec les Facebook Papers, révélés par la lanceuse d'alerte Frances Haugen, c'est plusieurs scandales qui s'enchaînent avec la fuite de ces documents internes. Haugen accuse notamment la plateforme de faire passer « les profits avant la sécurité » des utilisateurs. Face à cette grave crise de réputation, le nouveau projet de Zuckerberg pourrait être une tactique pour redorer son image et détourner l'attention. Après son audition devant le Congrès américain, l'ancienne employée de Facebook sera aussi entendue par le Sénat à Paris le 10 novembre prochain.
Pendant ce temps là, la campagne présidentielle française se poursuit et les différents candidats ont plus que jamais conscience de l'importance de leurs réseaux sociaux. Si les équipes d'Emmanuel Macron ou de Jean-Luc Mélenchon manient parfaitement ces outils, certains candidats comme Anne Hidalgo sont plus à la peine. La bataille des idées se fait pourtant aussi sur ce terrain là et pour cela les community manager utilisent toutes les techniques pour faire remonter leurs hashtags, ces mots-clés qui donnent les tendances.
Enfin, en Chine, les réseaux sociaux et Internet dans sa globalité subit des censures et un contrôle important de la part de l'Etat. Les capacités de surveillance du web par le pouvoir sont fortes, et face à ce contexte compliqué, LinkedIn vient d'annoncer son retrait de l'empire du Milieu. C'était le dernier grand réseau social américain à y rester.
Alors, le groupe de Mark Zuckerberg peut-il remonter la pente après les Facebook Papers ? Comment se joue la campagne présidentielle sur les réseaux sociaux ? Jusqu'au la Chine peut-elle porter sa censure sur le web ?
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