POLICIERS DONNENT DES COUPS DE PIED À UNE VIEILLE FEMME NOIRE, MAIS SON FILS ÉTAIT AGENT DU FBI...

Les paroles de Catherine restèrent gravées dans l'esprit de Coralie. Elles lui firent ressentir quelque chose qu'elle ne montrait presque jamais : la fin de sa patience. Elle se sentit humiliée et attaquée. Alors, elle prit une profonde inspiration et tenta de rester calme.

"J’ai déjà dit que ça me rend triste."
"Je n’ai pas besoin de recevoir des leçons de morale de quelqu’un qui ne sait même pas ce que j’ai vécu."

Antoine posa une main sur l’épaule de Coralie pour la retenir. Mais Catherine s’avança, montrant qu’elle ne comptait pas reculer.

"Quelle est ton histoire ? Ça n’a aucune importance ! Regarde ce que tu as fait !" C’en fut trop pour Coralie. Elle perdit le contrôle. "Recule !" s’écria-t-elle. "Tu deviens complètement folle !" Avant même de pouvoir se retenir, elle donna un coup de poing au visage de Catherine. Tout le restaurant fut figé de stupeur. L’impact fut assez fort pour faire reculer Catherine et la faire tomber en arrière. Pierre fit un pas en avant, son visage marqué par la colère.

"C’était une erreur, madame." "Tu n’as même pas conscience de ce que tu viens de faire ?"

"Regarde-moi !" hurla Catherine, une rage sourde dans la voix qui résonna dans toute la pièce. Elle ressemblait à quelqu’un qui refusait d’être défié. Mais il y avait quelque chose de plus profond, peut-être une douleur qu’elle ne voulait pas exprimer, quelque chose qui expliquait sa réaction excessive.

S’accrochant à la table pour ne pas tomber, Coralie ressentait les paroles de Catherine comme des coups de couteau. Elle savait qu’elle était responsable de l’accident, mais la réaction de Catherine lui semblait démesurée. Antoine, aux côtés de Coralie, leva doucement la main dans un geste d’apaisement.

"Veuillez nous excuser, madame," commença-t-il d’une voix calme et posée, "nous savons que c’est une grosse erreur et nous sommes sincèrement désolés. Nous pouvons trouver une solution." Mais Catherine ne voulait rien entendre. "Trouver une solution ?" ricana-t-elle. "Vous pensez qu’un simple pardon va tout arranger ? Regardez ma robe ! Regardez ma peau ! Tout est fichu !"

Pendant ce temps, Pierre restait silencieux à côté de Catherine, mais son visage fermé et ses poings serrés montraient qu’il était tout aussi furieux qu’elle. Il semblait attendre le moment opportun pour intervenir. Coralie tenta une nouvelle fois :

"Je comprends que vous soyez en colère. Je le serais aussi à votre place. Mais c’était un accident ! Nous n’avons pas besoin d’en faire tout un drame." Catherine s’avança encore, ignorant toutes les tentatives d’apaisement. "Un drame ? Tu ne comprends donc rien ? Il s’agit de respect ! Et clairement, tu n’en as aucun ! Des gens comme toi pensent toujours pouvoir faire ce qu’ils veulent et s’en tirer avec un simple ‘désolé’ !" Ces mots eurent l’effet d’un incendie attisé par de l’essence. Le cœur de Coralie se serra.

Des gens comme toi ?Ce n’était pas qu’une simple accusation. C’était un jugement. Catherine se croyait en droit de la condamner. "Écoute-moi bien," répliqua Coralie, sa voix passant du calme à la fermeté. "J’ai déjà présenté mes excuses. J’ai déjà dit que j’étais désolée. Je n’ai pas à être traitée ainsi pour un accident." Catherine sourit, mais son sourire était triste, teinté d’ironie.

"Ah… bien sûr. Tu es douée pour trouver des excuses et éviter d’assumer tes actes." Ces paroles furent la goutte de trop. Elles ravivèrent en Coralie des souvenirs douloureux, des moments où elle avait été injustement jugée, rabaissée, réduite à moins que ce qu’elle était réellement. "Ça suffit !" lança-t-elle, sa voix résonnant dans la pièce. "Tu es complètement folle !" Avant qu’Antoine ne puisse la retenir, Coralie lui envoya un coup de poing en plein visage.

L’impact fut net. Catherine trébucha et tomba sur une chaise.

Tu seras surpris par ce qui va se passer dans cette histoire. Un retournement incroyable et inimaginable !

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