Alors que le gouvernement cherche des ressources supplémentaires, la fiscalité environnementale ne cesse de croître au nom de la lutte contre la pollution. Cependant, ces taxes ne semblent pas véritablement servir l'intérêt général, mais plutôt aggraver la dette publique. Les contribuables se retrouvent les premiers touchés, supportant le poids de ces prélèvements, sans réelle garantie de dépollution future. Au-delà des motifs nobles affichés, cette fiscalité écologique cache souvent une hypocrisie financière.
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