Le directeur a engagé une fille sourde pour rire. Le bureau a frissonné lorsque la vidéo...
L'instant où Monsieur Martin a franchi la porte de l'entreprise, un vent de changement a soufflé dans les couloirs. Il n'a pas fallu longtemps pour que tous ressentent l'intensité de sa présence, un homme de taille moyenne avec des yeux qui semblaient évaluer chaque centime dépensé par l'entreprise. Fraîchement nommé directeur, sa réputation le précédait, mais rien n'aurait pu préparer l'équipe à la vitesse à laquelle il mettrait en place ses nouvelles politiques. Lors de sa première réunion d'équipe, l'atmosphère était tendue, l'air chargé d'expectative. Monsieur Martin, debout, droit comme un i, avec un regard déterminé, n'a pas tardé à détailler ses premières mesures. "Il est temps d'optimiser nos ressources," a-t-il commencé, sa voix ferme résonnant dans la salle. "J'ai révisé notre masse salariale et, franchement, on dépense trop. Des ajustements seront faits." Les murmures parmi les employés montaient tandis que Monsieur Martin décrivait ses plans de réduction des salaires, excepté le sien, bien entendu. Sa justification était simple : l'entreprise devait réduire ses dépenses pour augmenter ses profits. Cependant, la profondeur et la brutalité de ces coupes ont pris tout le monde par surprise.
Peu de temps après, le mécontentement s'est propagé comme une traînée de poudre. Les lettres de démission ont commencé à être déposées presque immédiatement, les unes après les autres, en signe de protestation contre les mesures draconiennes de Monsieur Martin. Mais il restait imperturbable, convaincu d'être sur la bonne voie. Son obsession ne se limitait pas aux économies financières. La propreté du bureau est devenue un autre de ses centres d'intérêt. "Un lieu de travail propre est un lieu de travail efficace," déclarait-il souvent, bien que ses exigences en matière de propreté allaient bien au-delà du raisonnable, s'attendant à ce que le bureau soit maintenu dans un état de stérilité rivalisant avec celui des salles d'opération. Ces attentes inhumaines envers la propreté sont rapidement devenues problématiques, surtout parce que trouver quelqu'un disposé à nettoyer dans ces conditions et pour un salaire de misère s'est avéré impossible. Monsieur Martin, cependant, ne voyait pas cela comme un obstacle, mais plutôt comme un défi à relever, sans réaliser l'atmosphère hostile et démoralisée qu'il était en train de créer.
L'instant où Monsieur Martin a franchi la porte de l'entreprise, un vent de changement a soufflé dans les couloirs. Il n'a pas fallu longtemps pour que tous ressentent l'intensité de sa présence, un homme de taille moyenne avec des yeux qui semblaient évaluer chaque centime dépensé par l'entreprise. Fraîchement nommé directeur, sa réputation le précédait, mais rien n'aurait pu préparer l'équipe à la vitesse à laquelle il mettrait en place ses nouvelles politiques. Lors de sa première réunion d'équipe, l'atmosphère était tendue, l'air chargé d'expectative. Monsieur Martin, debout, droit comme un i, avec un regard déterminé, n'a pas tardé à détailler ses premières mesures. "Il est temps d'optimiser nos ressources," a-t-il commencé, sa voix ferme résonnant dans la salle. "J'ai révisé notre masse salariale et, franchement, on dépense trop. Des ajustements seront faits." Les murmures parmi les employés montaient tandis que Monsieur Martin décrivait ses plans de réduction des salaires, excepté le sien, bien entendu. Sa justification était simple : l'entreprise devait réduire ses dépenses pour augmenter ses profits. Cependant, la profondeur et la brutalité de ces coupes ont pris tout le monde par surprise.
Peu de temps après, le mécontentement s'est propagé comme une traînée de poudre. Les lettres de démission ont commencé à être déposées presque immédiatement, les unes après les autres, en signe de protestation contre les mesures draconiennes de Monsieur Martin. Mais il restait imperturbable, convaincu d'être sur la bonne voie. Son obsession ne se limitait pas aux économies financières. La propreté du bureau est devenue un autre de ses centres d'intérêt. "Un lieu de travail propre est un lieu de travail efficace," déclarait-il souvent, bien que ses exigences en matière de propreté allaient bien au-delà du raisonnable, s'attendant à ce que le bureau soit maintenu dans un état de stérilité rivalisant avec celui des salles d'opération. Ces attentes inhumaines envers la propreté sont rapidement devenues problématiques, surtout parce que trouver quelqu'un disposé à nettoyer dans ces conditions et pour un salaire de misère s'est avéré impossible. Monsieur Martin, cependant, ne voyait pas cela comme un obstacle, mais plutôt comme un défi à relever, sans réaliser l'atmosphère hostile et démoralisée qu'il était en train de créer.
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