"Je veux la justice." Invité ce dimanche soir sur LCI, Jean-Luc Mélenchon a longuement évoqué les violences urbaines de ces derniers jours en France. Et affirmé sa différence sur la manière d'aborder les événements.
Alors que La France insoumise est accusée de ne pas condamner suffisamment fermement les violences, Jean-Luc Mélenchon s'est défendu : "Avez-vous entendu une seule fois un seul appel d'un insoumis à faire ceci ou cela ? Ce n'est pas notre ligne. Nous sommes contre la violence", a assuré l'ancien candidat à la présidentielle.
"Emmanuel Macron méprise les gens"
Néanmoins, il a refusé de lancer un appel au calme : "La question pour un homme politique n'est pas d'appeler au calme, de se donner des postures. Mais d'essayer d'arriver au calme", a estimé Jean-Luc Mélenchon. Avant de préciser : "Je veux la justice. Les parlementaires insoumis ont déposé une proposition pour abroger dès lundi la loi qui permet de tirer pour un refus d'obtempérer. Les juges, les syndicats des magistrats, doivent être écoutés."
Interrogé sur le climat actuel dans le pays, le leader insoumis a considéré que "tout le monde est responsable d'une maltraitance sociale géante dans certains quartiers, et d'une maltraitance policière systématique à l'égard de certaines populations." "Le président de la République aurait pu se rendre auprès de la pauvre maman qui a perdu son fils unique. Un enfant a été abattu." "Depuis mardi dernier, les autorités de ce pays n'ont rien fait pour dire : "Les choses sont allées trop loin."
cc: LCI_TV
https://www.tf1info.fr/politique/video-violences-urbaines-la-question-pour-un-homme-politique-n-est-pas-d-appeler-au-calme-assume-jean-luc-melenchon-sur-lci-2262344.html
Alors que La France insoumise est accusée de ne pas condamner suffisamment fermement les violences, Jean-Luc Mélenchon s'est défendu : "Avez-vous entendu une seule fois un seul appel d'un insoumis à faire ceci ou cela ? Ce n'est pas notre ligne. Nous sommes contre la violence", a assuré l'ancien candidat à la présidentielle.
"Emmanuel Macron méprise les gens"
Néanmoins, il a refusé de lancer un appel au calme : "La question pour un homme politique n'est pas d'appeler au calme, de se donner des postures. Mais d'essayer d'arriver au calme", a estimé Jean-Luc Mélenchon. Avant de préciser : "Je veux la justice. Les parlementaires insoumis ont déposé une proposition pour abroger dès lundi la loi qui permet de tirer pour un refus d'obtempérer. Les juges, les syndicats des magistrats, doivent être écoutés."
Interrogé sur le climat actuel dans le pays, le leader insoumis a considéré que "tout le monde est responsable d'une maltraitance sociale géante dans certains quartiers, et d'une maltraitance policière systématique à l'égard de certaines populations." "Le président de la République aurait pu se rendre auprès de la pauvre maman qui a perdu son fils unique. Un enfant a été abattu." "Depuis mardi dernier, les autorités de ce pays n'ont rien fait pour dire : "Les choses sont allées trop loin."
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