ITW la France Bouge de Elizabteh Assayag :
Du troc exclusivement entre entreprises
Si plusieurs sites et applications de troc se développent pour faciliter les échanges de biens entre particuliers, certains sont plus spécialisés et s’adressent parfois exclusivement aux entreprises. À l’instar de France Barter, également présenté lundi sur Europe 1 par son fondateur, Samuel Cohen. Ce dernier propose un mode de commerce collaboratif permettant aux entreprises d’échanger des biens et services grâce à une monnaie fictive appelée le "barter" ("troc" en anglais, NDLR). Un principe qu’il a découvert aux États-Unis après la crise de 2008, caractérisée par un arrêt du financement des entreprises par les banques. "Les entreprises se regroupaient donc en réseau pour échanger des produits et des services, et se financer entre elles", explique le co-fondateur de France Barter.
Le barter est une unité de compte interne au réseau qui n’est pas convertible en euros. Chaque entreprise est donc tenue de les réutiliser sur la plateforme. "L’entreprise est tenue d’utiliser ses barters sur le réseau, et trouvera des fournisseurs et prestataires locaux qui, certes seront peut-être moins compétitifs, mais qui accepteront les barters", poursuit Samuel Cohen. "Ça relocalise l’économie et apporte aux entreprises, la bulle d’air dont elles ont besoin aujourd’hui, dans une logique d’entraide et de réciprocité commerciale".
Pour retrouver l’ensemble de ces entrepreneurs, engagés pour faire évoluer nos modes de consommation, vous pouvez retrouvez l’intégralité de l’émission La France Bouge, ci-dessous.
Du troc exclusivement entre entreprises
Si plusieurs sites et applications de troc se développent pour faciliter les échanges de biens entre particuliers, certains sont plus spécialisés et s’adressent parfois exclusivement aux entreprises. À l’instar de France Barter, également présenté lundi sur Europe 1 par son fondateur, Samuel Cohen. Ce dernier propose un mode de commerce collaboratif permettant aux entreprises d’échanger des biens et services grâce à une monnaie fictive appelée le "barter" ("troc" en anglais, NDLR). Un principe qu’il a découvert aux États-Unis après la crise de 2008, caractérisée par un arrêt du financement des entreprises par les banques. "Les entreprises se regroupaient donc en réseau pour échanger des produits et des services, et se financer entre elles", explique le co-fondateur de France Barter.
Le barter est une unité de compte interne au réseau qui n’est pas convertible en euros. Chaque entreprise est donc tenue de les réutiliser sur la plateforme. "L’entreprise est tenue d’utiliser ses barters sur le réseau, et trouvera des fournisseurs et prestataires locaux qui, certes seront peut-être moins compétitifs, mais qui accepteront les barters", poursuit Samuel Cohen. "Ça relocalise l’économie et apporte aux entreprises, la bulle d’air dont elles ont besoin aujourd’hui, dans une logique d’entraide et de réciprocité commerciale".
Pour retrouver l’ensemble de ces entrepreneurs, engagés pour faire évoluer nos modes de consommation, vous pouvez retrouvez l’intégralité de l’émission La France Bouge, ci-dessous.
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