En 1835, Marseille a seulement quatre huileries de graines.
Puis en 1851, l'huilerie-savonnerie marseillaise fut révolutionnée, par l'invention du savon blanc cuit (ou liquidé), contenant plus d'eau que le savon, marbré bleu, et fabriqué selon un autre procédé.
Ces premiers « savons blancs » sont fabriqués à partir des sous-produits des oléagineux, par opposition aux « savons verts » (ou bleus), à base d'olive, les huiles de palmiste et de coprah, pouvant désormais remplacer l'huile d'olive.
En 1851, le roi Sodji de Porto-Novo signe un traité de commerce et d'amitié avec la France, pour développer l'exportation d'huile de palme.
Il fait planter de nouvelles palmeraies, au nord de Porto-Novo, sur les conseils des négociants afro-brésiliens, qui tirent bénéfice des Traites négrières, réprimée par le British African Squadron, et sont en lien (en lien = liés à ou en rapports), avec des négociants français.
Il veut protéger son commerce d'huile de palme et fait planter de nouvelles palmeraies au nord de Porto-Novo, dont les savonneries marseillaises seront le débouché.
En 1863, Marseille compte 16 fabriques de savon blanc, pour 36 fabriques de savon traditionnel.
En 1870, c'est déjà 42 usines triturant les graines d'oléagineux et un marché en plein essor. Résultat, pour l'ensemble de la France, les importations de graines oléagineuses sont multipliées par 175, entre 1835 et 1870.
La fin en 1864, du protectorat français créé par roi Sodji de Porto-Novo, est une étape importante dans l'Histoire de la culture de l'arachide, car les palmeraies ainsi mises en orbite dans le commerce colonial français, en sortent peu après, obligeant à trouver de nouvelles matières premières, pour les savonneries marseillaises, qui en avaient profité.../...
Puis en 1851, l'huilerie-savonnerie marseillaise fut révolutionnée, par l'invention du savon blanc cuit (ou liquidé), contenant plus d'eau que le savon, marbré bleu, et fabriqué selon un autre procédé.
Ces premiers « savons blancs » sont fabriqués à partir des sous-produits des oléagineux, par opposition aux « savons verts » (ou bleus), à base d'olive, les huiles de palmiste et de coprah, pouvant désormais remplacer l'huile d'olive.
En 1851, le roi Sodji de Porto-Novo signe un traité de commerce et d'amitié avec la France, pour développer l'exportation d'huile de palme.
Il fait planter de nouvelles palmeraies, au nord de Porto-Novo, sur les conseils des négociants afro-brésiliens, qui tirent bénéfice des Traites négrières, réprimée par le British African Squadron, et sont en lien (en lien = liés à ou en rapports), avec des négociants français.
Il veut protéger son commerce d'huile de palme et fait planter de nouvelles palmeraies au nord de Porto-Novo, dont les savonneries marseillaises seront le débouché.
En 1863, Marseille compte 16 fabriques de savon blanc, pour 36 fabriques de savon traditionnel.
En 1870, c'est déjà 42 usines triturant les graines d'oléagineux et un marché en plein essor. Résultat, pour l'ensemble de la France, les importations de graines oléagineuses sont multipliées par 175, entre 1835 et 1870.
La fin en 1864, du protectorat français créé par roi Sodji de Porto-Novo, est une étape importante dans l'Histoire de la culture de l'arachide, car les palmeraies ainsi mises en orbite dans le commerce colonial français, en sortent peu après, obligeant à trouver de nouvelles matières premières, pour les savonneries marseillaises, qui en avaient profité.../...
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