Faute d'interdiction nationale, les maires multiplient les arrêtés contre un phénomène grandissant : la consommation chez les jeunes du protoxyde d’azote, autrement plus connu sous le nom de gaz hilarant. Car dans de très nombreuses villes de France, il n’est pas inhabituel de voir des cartouches métalliques à terre.
Très facilement accessible dans le commerce, le protoxyde d'azote, ou encore «proto» ou «gaz hilarant», se vend sous forme de cartouches destinées notamment aux siphons à chantilly.
Dans son usage détourné, le gaz que contiennent les cartouches est déversé dans un ballon de baudruche puis inhalé. Quelques inhalations provoquent une euphorie comparable à une ivresse, accompagnée d'un fou rire irrépressible.
Parmi les risques immédiats encourus, les autorités sanitaires citent les brûlures par le froid à l'expulsion du gaz, pertes de connaissance, asphyxie par manque d'oxygène... Une utilisation régulière ou à forte dose peut entraîner «atteinte de la moelle épinière, carence en vitamine B12, anémie, troubles psychiques».
Très facilement accessible dans le commerce, le protoxyde d'azote, ou encore «proto» ou «gaz hilarant», se vend sous forme de cartouches destinées notamment aux siphons à chantilly.
Dans son usage détourné, le gaz que contiennent les cartouches est déversé dans un ballon de baudruche puis inhalé. Quelques inhalations provoquent une euphorie comparable à une ivresse, accompagnée d'un fou rire irrépressible.
Parmi les risques immédiats encourus, les autorités sanitaires citent les brûlures par le froid à l'expulsion du gaz, pertes de connaissance, asphyxie par manque d'oxygène... Une utilisation régulière ou à forte dose peut entraîner «atteinte de la moelle épinière, carence en vitamine B12, anémie, troubles psychiques».
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