Guillaume Froger, horticulteur près d'Angers, doit jeter jusqu'à 20 000 fleurs par jour faute de pouvoir écouler sa marchandise auprès de revendeurs depuis la fermeture des fleuristes et des rayons de fleurs coupés, des produits classés "non essentiels" malgré leur caractère périssable, dans les supermarchés.
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