Un mois après la déflagration qui a dévasté des quartiers entiers de Beyrouth, la vie reprend timidement ses droits dans les zones les plus touchées. Nécessité financière ou acte de défiance, une poignée de commerces ont rouvert leurs portes dans des rues encore largement délabrées, où ouvriers et volontaires sont quotidiennement à pied d'œuvre.
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