Conférence Cambridge, Jacques Benveniste, 10/03/1999

Nous sommes le 10 mars 1999, le regretté Jacques Benveniste a donné au Cavendish's Department Colloquium à l'université de Cambridge (UK), un exposé intitulé "Electromagnetically Activated Water and the Puzzle of the Biological Signal" (L'eau activée par électromagnétisme et l'énigme du signal biologique). La conférence complète est disponible ici : https://sms.cam.ac.uk/media/871684, avec introduction et réponses de Jacques. Cependant, l'exposé est en anglais et n'est donc accessible qu'aux personnes maîtrisant parfaitement la langue de Shakespeare. Et, vu l'importance du sujet traité, je vous propose donc, grâce à la bienveillance d'Antoinee Ellgard, une version sous-titrée en français de cette conférence mémorable et cruciale pour la biologie. Pour resituer le contexte, nous sommes 10 ans après "l'affaire Benveniste" provoquée par la publication en 1988 d'un article dans la prestigieuse revue britannique "Nature". Bien que décrié et vilipendé par une majorité de la communauté scientifique, Jacques Benveniste est alors à l'apogée de sa recherche innovante et révolutionnaire. Mais, même s'il ne le sait pas, il n'a plus que cinq années à vivre et tant de choses à faire. L'une d'entre elles est bien sûr de proposer une explication théorique rationnelle de la mémoire de l'eau fondée sur les lois de la physique. La mort prématurée de Jacques en 2004 va l'en empêcher. Mais, elle va aussi me réveiller. Car, si vous écoutez attentivement cette conférence, vous constaterez l'extraordinaire talent de cet orateur hors pair qui sait allier science rigoureuse et humour pince-sans-rire. Ce n'est donc pas un hasard, si l'assurance de Jacques et son ardeur expérimentale va séduire Luc Montagnier, colauréat du prix Nobel de médecine 2008, qui va reprendre ses travaux et les pousser un cran plus loin sur le plan expérimental en téléportant la molécule d'ADN. Parce que c'est ce qu'affirmait Jacques dès 1999. Si on l'avait écouté, la biologie numérique serait opérationnelle et l'on pourrait diagnostiquer à distance via internet n'importe quelle maladie virale ou bactérienne. Il n'y aurait pas eu de scandale du COVID-19 ni de vacs-saints visant à réduire la population mondiale en éliminant tous ceux qui n'ont pas les compétences intellectuelles suffisantes pour comprendre la biologie cellulaire. On soignerait à distance, via des ondes et de la musique, pour le coût d'un prélèvement sanguin et d'une connexion sanguin. L'humanité se doit de réaliser l'énorme opportunité qui s'est présentée à elle dès 1988 pour enfin avoir un monde en bonne santé où règne la paix. Mais, le 8 février 2022, j'apprends la terrible nouvelle du décès de Luc Montagnier, le digne héritier de Jacques. Moralité, en 2024, nous sommes tous plus ou moins malades et abrutis par les médicaments chimiques et les bruits de bottes qui résonnent dans le monde entier où règne chaos et violence. Pourtant, dès 2012, afin que l'on puisse réhabiliter le travail de Jacques et soutenir celui de Luc alors en pleine activité, j'avais publié, en collaboration avec une équipe italienne, une explication théorique de ce phénomène de mémoire de l'eau ("Emergence of the Coherent Structure of Liquid Water", I. Bono, E. Del Giudice, L. Gamberale & M. Henry*, Water 2012, 4, 510-532; doi:10.3390/w4030510). Ayant, les expériences françaises de Jacques et Luc ainsi que l'explication théorique franco-italienne, tout était prêt pour remettre l'humanité sur les bons rails. Mais, non, la communauté anglo-saxonne fascinée par le commerce et l'industrie n'a pas suivi. Pire, elle a continué son travail de sape et de décrédibilisation du phénomène de mémoire de l'eau entamé en 1988. Ceux qui ont le temps et qui n'ont pas le niveau scientifique requis pour décoder mon papier de 2012 pourront se référer à la vidéo intitulée "La science de l'homéopathie" publiée sur cette chaîne YouTube (https://www.youtube.com/watch?v=yUoQYlDWHkU&t=2s). Le mécanisme physique y est expliqué en détail grâce au réalisateur J.-P. Radad Aoun. Je vous invite également à lire certains commentaires des "sceptiques" qui ont déjà fait tant de mal et qui continuent à dire que la mémoire de l'eau est une arnaque ou de la pseudoscience. Bref, sachez que, moi non plus, je ne suis pas éternel et qu'e de 2005 à 2024, j'ai failli mourir à quatre reprises. La cinquième sera peut-être la bonne, allez savoir... Il en est de même pour toutes les scientifiques qui ont connu cette glorieuse période. Qui sera là après notre départ définitif pour prendre le relais et continuer à défendre la mémoire de Jacques et de ses héritiers ? La question se pose... En attendant, n'hésitez pas à adhérer au groupe des "Amis de l'eau morphogénique" sur FB (https://www.facebook.com/groups/3283029001965106). Car, plus nous serons nombreux à défendre la mémoire de l'eau, plus la biologie numérique ou vibratoire pourra s'imposer pour la survie et le plus grand bien-être de l'humanité. Bon visionnage...